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13 juin 2017 2 13 /06 /juin /2017 12:40
"Réversible ?"
"Réversible ?"
"Réversible ?"

Lecture-performance Réversible ? (combinaison n°41 -des mesures & démesure)
à 18h30 le 23 juillet et installation "Réversible 1 (A la poussière...), 2 (Où ça commence...) et 3 ("CaCO3).

Exposition collective du 23 juin au 24 juillet 2017.

Patrice Carré
Isabelle Lartault
Claire Maugeais
Olivier Menanteau
Olivier Nerry
Jean-Christophe Nourisson
scomparo
Xavier Vantaggi
Michel Verjux
Véronique Verstraete

Chabrolles-Site Patrimonial industriel de la chaux, route de Chabrolles, 18320, Beffes.

 

 

 

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2 mars 2017 4 02 /03 /mars /2017 16:51

Exposition collective Utopies fluviales, Dans le sens de Barge et muséoSeine, Caudebec-en-Caux, 24 février - 10 avril et dans le Parc du chemin de l'île à Nanterre, du 17 au 25 juin. Le Havre, 8 novembre - 2017.

"De l'eau, essentiellement. De l'eau sans laquelle ni vous ni moi. De l'eau en quantité. De l'eau qui va nous manquer."

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2 mars 2017 4 02 /03 /mars /2017 16:16

Galerie Art & Essai, Rennes, 15 décembre 2016 -16 février 2017

Galerie Zwangigquadrameter, Berlin, 29 avril -12 mai 2017

Les brasseurs, liège, Belgique : 13 septembre - 14 octobre 2017

Académie royale des beaux-arts, Bruxelles, 31 janvier – 17 février 2018

 

Mains d’oeuvres, Saint-Ouen, 15 avril – 22 avril 2018

 

EX.PDF : EXPOSER LES ÉCRITURES EXPOSÉES
Projet labellisé par la MSHB, en partenariat avec le CELLAM / EA3206, sur une proposition du label hypothèse

avec Adrien Abline, Julie Béna, Clélia Berthier, Étienne Bossut, Nicolas Chardon, Claude Closky, Claudia Comte, Guillaume Constantin, Antonio Contador, John Cornu, Bruno Di Rosa, Peter Downsbrough, Ivan Liovik Ebel, Christelle Familiari, Michel François, Ann Guillaume & Tom Bücher, Ann Veronica Janssens, Joséphine Kaeppelin, Isabelle Lartault & Michel Verjux, Quentin Lefranc, Muriel Leray, Claude Lévêque, Jonathan Loppin, Mathieu Mercier, Grégoire Motte, Samir Mougas, Pierre la Police, Éric Pougeau, Marine Provost, Babeth Rambault, Francis Raynaud, Lili Reynaud-Dewar, Claude Rutault, Éléonore Saintagnan, Yann Sérandour, Agnès Thurnauer, Hélène Travert, Mathieu Tremblin, Capucine Vandebrouck, Philémon Vanorlé / Société Volatile, Christophe Viart

 

D’un point – zum anderen, exposition collective Ex.PDF « Exposer les écritures exposées »
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20 mai 2016 5 20 /05 /mai /2016 12:29
Faire, mais défaire...Faire, mais défaire...Faire, mais défaire...
Faire, mais défaire...Faire, mais défaire...Faire, mais défaire...
Faire, mais défaire...Faire, mais défaire...Faire, mais défaire...

Dans une période de creux, j’ai commencé un puzzle. Ce cadeau, un bateau, n’avait pas amusé l’enfant.

Pour oublier son vague à l’âme, on peut faire diversion avec du ménage ou du jardinage, je me suis attaquée à un puzzle difficile : 1000 pièces de bleus et de blancs.

J’ai commencé à sélectionner les morceaux à bords droits pour construire le cadre de 70 cm par 50 cm. Le tour terminé, j’ai réalisé l’ampleur du travail : remplir un rectangle vide, un trou béant. Est-ce que je n’avais pas vu trop grand ? Est-ce que j’aurai le courage d’aller jusqu’au bout ? Je n’allais pas reculer maintenant.

J’ai trié les autres morceaux par nuances en mettant de côté les pièces aux dessins particuliers que j’ai, en priorité, entrepris d’assembler. Rien de plus facile ! Puis le jeu, c’est la règle, se compliqua : des pièces bleu ciel se retrouvèrent dans le tas des bleus outremer, des pièces de formes identiques usurpèrent leurs places, d’autres se révélèrent être sous la table ou accrochées à mon pull. Je mis en doute l’existence de certains morceaux avant d’avoir recours, en désespoir de cause, à l’épreuve longue et fastidieuse des essais systématiques pour découvrir, à la fin, qu’ils n’avaient simplement pas la couleur attendue. Mais d’une façon ou d’une autre, le puzzle avançait.

En dépit du fait qu’on possède une foule de chaussettes dépareillées et que l’on a, dans ses connaissances, des adultes pas tout jeunes qui cherchent toujours l’âme sœur, savoir qu’à chaque place correspond un objet soulage à l’instar de ces expressions rabattues : « trouver chaussures à son pied », « à chaque pot son couvercle », etc.

Quand j’eus réussi à placer environ un tiers des pièces, le puzzle progressa à un rythme plus soutenu. Il faut dire que la dépendance s’accroît au fur et à mesure qu’on progresse, qu’on se hâte chaque jour davantage de se remettre à la tâche et que le nombre de probabilités diminuant avec le nombre de pièces, le remplissage s’accélère.

L’excitation grandit quand les derniers morceaux se détachent les uns des autres au fond de la boîte. Tout semble sous contrôle même si, jusqu’à la dernière minute, on s’inquiète encore qu’aucune pièce ne semble correspondre à telle découpe. Mais quand, comme par magie, on la trouve enfin, c’est un réel soulagement. Une belle satisfaction !

Pour occuper un passage à vide, j’avais eu l’idée de faire un puzzle mais l’effet calmant n’avait pas duré très longtemps. Je me suis tellement acharnée qu’en huit jours à temps plein le puzzle était terminé.

La réalisation d’un puzzle se rapproche de la construction d’un texte. Une appréhension au départ - un sentiment de plénitude au milieu - une appréhension à la fin.

« Et après ? » Au plein, succède alors la question du vide qui vient.

Un puzzle est d’autant plus difficile à défaire qu’il a été difficile à faire.

Compatissants, les amis tiennent à se mettre à ma place. Une telle quantité de travail ne peut pas se réduire en un rien de temps. Il faut le garder ! Même ceux qui ne s’arrêtent pas à l’image me conseillent de le coller. Pour l’exposer ? Vous rigolez !

Et puis, je ne veux pas commettre un acte irréversible, ce n’est pas du jeu !

Mais il me semble prématuré de le remballer maintenant. Je ne veux pas me brusquer. Plutôt le laisser tel quel le temps de le regarder, d’oublier le travail qu’il m’a donné, le temps qu’il prenne la poussière, qu’il devienne trop embarrassant, alors je pourrai sûrement le détruire plus facilement.

Je regrette de ne pas avoir photographié le puzzle au fur et à mesure de sa progression pour garder le souvenir de son élaboration : revoir les pièces s’ajuster, le sujet prendre forme, le bleu s’étendre pour rejoindre les bords du cadre. C’était beau et j’aurais pu partager mon plaisir tout en montrant que faire n’est jamais qu’un simple passe-temps. Je sors de ma période creuse, j’ai trouvé ma compensation. Retour à la création.

Cependant, il n’est pas trop tard pour conserver des traces du puzzle en train de se défaire… Un puzzle en train de se défaire ne ressemble-t-il pas à un puzzle en train de se faire ?

Finalement, pas tant que ça…

Mais par quel bout commencer ? Commencer par faire un trou ? Pièce par pièce, c’est long et fatiguant. Arracher des morceaux, c’est désespérant. Je le retourne pour le défaire côté carton, à l’envers. Retour aux origines, aux arbres, à la matière. Je le roule, le plie et le replie. Terre asséchée, lambeaux d’écorce, peau, le puzzle se fend, se craquelle et s’effrite. Quelques morceaux tombent mais la plupart restent bien accrochés. Soudés tous ensemble, ils forment une toile plus résistante que je ne l’aurais imaginé.

Le tout, maintenant, est qu’il rentre dans la boîte.

Entre fait et défait, j’ai trouvé un compromis. Pourtant, si un jour je veux rejouer le jeu, il faudra bien me confronter au détachement morceau par morceau.

Mais recommençons-nous jamais un puzzle de 1000 pièces avec 70 % de ciel et d’eau ?

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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 18:23
A côté de "Tête sur tige" de Giacometti.

A côté de "Tête sur tige" de Giacometti.

Visite performée - Exposition Giacometti - Fonds Hélène et Edouard Leclerc - Landerneau - samedi 31 octobre.

À l’occasion de la nocturne de l’exposition Alberto Giacometti (le 31 octobre jusqu’à 21h),le Fonds Hélène & Édouard Leclerc invite Isabelle Lartault à imaginer une visite performée inspirée des oeuvres exposées. Artiste et poète, Isabelle Lartault travaille depuis près de 30 ans sur différents corpus de textes dont l’ensemble poétique « des mesures & démesure » dont elle activera pour l’occasion une nouvelle variation. À base de statistiques et de constats, elle propose une nouvelle perspective sur l’exposition, invitant les visiteurs à « prendre la mesure de notre rapport au monde ».

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9 octobre 2015 5 09 /10 /octobre /2015 11:00

Isabelle LARTAULT

« Depuis de nombreuses années, je travaille principalement sur trois grands textes génériques qui tous relient la forme et le contenu à leur fonction spécifique : Les grandes occasions, sorte d’épopée oulipienne, florilège de banquets de familles qui se réactualise neuf fois par an, en respectant le calendrier, depuis plus de trente ans ; des mesures & démesure, ensemble poétique qui avance par reprises et variations au rythme des lectures et un roman tripartite, La veille et le lendemain (livres I, II, et III) qui pourrait s’apparenter à un journal intime de la création.

En plus de se dérouler dans le temps, ces textes ont tous en commun le fait de se réactualiser, de se recombiner ou de se décliner à partir de mêmes structures, de mêmes types d’énoncés ou des mêmes thèmes.

Certains de ces textes peuvent se prolonger de la feuille de papier à l’espace d’exposition, de la mise en page à la mise en scène à travers des lectures performées, des installations, des performances, des pièces sonores ou de la vidéo

De façon générale, en tenant compte du dispositif spatial et sémiotique, avec des mots simples et choisis, je cherche à aller à l’essentiel, à montrer et à dire le non-dit, à dévoiler les apparences, à montrer les deux poids et les deux mesures d’un monde où chacun veut sortir du nombre, à rappeler l’évidence de la répétition des cycles naturels et culturels dans lesquels nous évoluons. »

I.L., Paris, Atelier du Père Lachaise et La Courneuve, Atelier des Francs-Tireurs, 2015.

 

www.isabelle-lartault.com/

 

Isabelle Lartault a étudié à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Dijon. Elle a publié Les Grandes Occasions (Les Archives modernes, Dijon, 2000), Fil de Trame (Centre Vendôme pour les Arts plastiques, Paris, 2007), Je vais pas t’attendre, Label Hypothèse, 2009 ; NOM DE MON DE (Passage d’Encres, Paris, 2011), TOUT le reste va sans DIRE (B.H.V., Bruxelles, 2014) ; des textes poétiques dans des revues littéraires et artistiques. Une de ses nombreuses lectures-performances a fait l’objet, en 2008, d’un “Atelier de création radiophonique” pour France Culture. Un entretien, des extraits de textes et une vidéo sont actuellement publiés sur le site D-Fiction. En 2010, elle est intervenue à la Fondation Ricard et, pour La Nuit Blanche, a réalisé en collaboration avec Michel Verjux, un poème urbain, visuel et sonore sur la Tour Montparnasse à Paris. En 2012, dans le cadre de Géographies nomades, elle cherche « Où sont les corps » dans l’amphithéâtre de morphologie de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et, en 2013, à Angers, fait marcher le public Aux pieds de la lettre. En 2014, au CCC de Tours, elle interprète Sortir du nombre et, à la Maison de la Poésie, à Paris, 10 mn et des poussières. En 2015, elle joue sur les Correspondances dans une exposition en duo avec Michel Verjux à la Lokremise de St Gallen (CH) .

 

 







 
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1 septembre 2015 2 01 /09 /septembre /2015 16:56
"L'Exposition" - Installation Isabelle Lartault - Michel Verjux

"L'Exposition" - Installation Isabelle Lartault - Michel Verjux

http://www.jeanbrolly.com/?wysija-page=1&controller=email&action=view&email_id=89&wysijap=subscriptions&user_id=1152

« Masse critique »


Simon Boudvin I Eugène Dodeigne I Philippe Gronon I Isabelle Lartault I Takesada Matsutani I Claude Rutault I Fred Sandback I Michel Verjux

du 5 septembre au 10 octobre 2015

Vernissage
Samedi 5 septembre
à partir de 14h

galerie jean brolly
16 rue de montmorency
75003 paris


L’œuvre de Michel Verjux « Matière noire et lumière blanche » a été le point de départ de cette exposition collective qui interroge la sculpture et ses développements « à la limite du possible, au seuil du rien » selon la formule de René Denizot.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 11:48

Fenetre-Large-copie-1.JPGPhotoTiréDisparaiss

  Atelier                                                                    Tiré à part (29,7 x 42 cm) du CD/Livre 

 

- Trois jours suivants, Isabelle Lartault et Michel Verjux avec Benoît Casas, Antoine Dufeu, Frédéric Forte, Jérôme Guitton, Patrice Hamel, Aude Legrand, Guy Lelong, Valentin Lewandowski, Lorenzo Menoud et Louis-Michel de Vaulchier à la librairie A Balzac A Rodin, Paris 75015, 22, 23, 24 septembre 201


 

X-Rouleau-texteombreet-lumiere.JPG

- Publication de Seul à Seul au milieu des autres

- Publication en ligne de Les Grandes Occasions (1980-20.. ), éditions D-FICTION

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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 14:45
des mesures & démesure (combinaison n°34, Quel que soit le mouvement) - lecture par Isabelle Lartault et Christian Hettkamp, Lokremise/kunstmuseum – St.Gallen (CH), 7 février 2015.

des mesures & démesure (combinaison n°34, Quel que soit le mouvement) - lecture par Isabelle Lartault et Christian Hettkamp, Lokremise/kunstmuseum – St.Gallen (CH), 7 février 2015.

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29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 13:40
Correspondances

Lokremise - Kunstmuseum St. Gallen : 7 février - 26 juillet 2015

Avec des œuvres en intérieur des deux artistes et en extérieur (pour Michel Verjux) -
et une lecture/performance (en français et en allemand) d'Isabelle Lartault (avec le comédien Christian Hettkamp)
vendredi 6 février, 18h30 - pendant le vernissage

Photo de l'installation avec Michel Verjux

Photo de l'installation avec Michel Verjux

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